Le rôle primordial des entraîneurs et des préparateurs physiques dans la lutte contre le dopage

Une étude menée par Goulet et ses collaborateurs en 2010 a démontré que les entraîneurs exercent une influence déterminante dans la décision des jeunes athlètes de consommer ou non des substances dopantes.

Cette étude montre l’urgence et la nécessité de former les entraîneurs à ce sujet, trop souvent tabou, pour qu’ils puissent intervenir de façon préventive et constructive auprès de leurs joueurs.

Le rugby féminin, un rugby à part entière

Depuis les années 60, le rugby féminin tente de se forger dans la douleur une place au sein du fief sexiste que représente le monde sportif. Toutefois, le nombre de licenciées ne cesse de progresser depuis quelques années. Il faut dire qu’en 2014 les médias ont enfin décidé de couvrir largement la coupe du monde de rugby féminin à XV. Depuis le soufflet médiatique est redescendu. Mais cet été, les JO de Rio montreront au monde entier que le rugby féminin, même à VII, existe bel et bien.

Amphétamines, stimulants, violences et bagarres générales dans le Rugby.

De nombreux produits dopants permettent de stimuler le cerveau. De manière générale, on classe ces produits dans la catégorie des stimulants. Ces substances engendrent toutes des troubles du comportement, qui comprennent entre autre une altération des facultés de jugement, des actes de violence et des états psychotiques. Les premiers témoignages de prise d’amphétamines dans le monde du Rugby datent des années 60. Aucune étude scientifique n’a quantifié la proportion exacte d’épisodes de violence individuelle de joueurs et surtout de phénomène de groupe de bagarre générale imputables à la prise d’amphétamine type Captagon ou Maxiton. Mais comment ne pas y voir une relation de cause à effet ?