Le petit théâtre tragique de l’élection à la présidence de la FFR. Les élections pour la présidence de la FFR donnent une image assez juste de l’état de déliquescence du rugby français en 2016.
Je ne vote pas aux élections présidentielles de la FFR, mais ça ne m’empêche pas d’avoir des idées en matière de politique-rugby.
Le nouveau président de la Fédération française de rugby (FFR), qui sera élu début décembre 2016, sauvera le rugby français. Ou alors, il l’enfoncera encore un peu plus dans la sinistrose. Le destin du rugby français dépendra de la nature du combat que ce président mènera contre la Ligue nationale du rugby professionnel (LNR). Afin d’engager les bonnes réformes et de prendre les décisions les plus justes, lequel des quatre candidats à la présidence sera le plus courageux et incorruptible ? Difficile à dire, mais la nature des relations de chacun avec la LNR en dit plus long qu’un programme fleuve.
Le nouveau président de la Fédération française de rugby (FFR), qui sera élu début décembre 2016, sauvera le rugby français ou l’enfoncera encore un peu plus dans la sinistrose. Le destin du rugby français dépendra de la nature du combat que le président de la FFR mènera contre la Ligue nationale du rugby professionnel (LNR). Afin d’engager les bonnes réformes et de prendre les décisions les plus justes, lequel des quatre candidats à la présidence sera le plus courageux et incorruptible ? Difficile à dire, mais la nature des relations de chacun avec la LNR en dit plus long qu’un programme fleuve.
Lors de sa dernière campagne internationale, l’équipe de France a subi un échec retentissant. Cette débâcle monumentale aura au moins servie à tirer le signal d’alarme : le rugby français est au bord du gouffre. Il faut le sauver.
Chiffres et exemples concrets à l’appui, j’ai identifié dans mes différents articles précédents les sept plaies du rugby français. Il ne tient désormais à nos quatre concurrents à la course à la présidence de la FFR qu’à sauver le rugby du cataclysme.